« son yoyo son bozo yoyo bozo yoyo »
..où es tu femme..?
Un crochet sur rose
Je suis son plat rose
Je récidive, qu'elle corrige les incartades de mes garde-fou d'amour.
Jamais je n'aurais ma dose d'overdose.
Du supplice des vices de ces sévices.
Son amour par de la droite se porte à gauche.
Elle me masochise que je ne la mysogyne.
Ce sont que des bobos-bobos d'amour..
Suis son yoyo son bozo-yoyo-bozo
Tout ce qu'elle veut du supplice des vices de ses sévices.
Ses ongles exacto manucuré que carillonne mon ange.
Son corps plus balancé plus calibré que la loi de la relativité bafoue mes garde-fou d'amour les corrige de bobos, bobos d'amour recto verso recto..
Que mon ange carillonne de mes garde-fou d'amour,
Elle les bafoue les fous à genoux que carillonne mon ange
Suis béni oui oui de ses propos son yoyo son bozo yoyo bozo yoyo.
Tout ce qu'elle veut que carillonne l'ange de mes bobos, bobos d'amour. Du supplice des vices de ses sévices, que carillonne mon ange, que ses ongles axacto m'incisent la peau. Qu'ils la dissèquent en lambeaux jusqu'à l'os comme jamais mes garde-fou d'amour n'auraient imaginé qu'être disséqué d'amour.
Par amour pour elle, j'ai trafiqué son compteur d'amour.
L'usure d'amour du bidule de la pendule.
Par amour pour elle j'ai trafiqué son compteur d'amour du balancier du métronome de ses hanches.
Elle, c'est tout mon moi. C'est mon moi tout elle y est tout.
C'est tout mon moi.
Pour elle, j'ai tout les calembours d'amour.
Un coeur clopon clopin qui va clopin clopon au détour des garde-fou d'amour des carrefours d'amour.
Pour son amour, j'ai mémorisé tout les sonnets d'amour.
S'il fallait malgré tout qu'elle se débine, que l'amour dévale, qu'elle s'emballe, je la suivrais, poursuivrais dans sa cavale..
Au delà de l'au-de-là des garde-fou d'amour de l'au-de-là de l'au delà qu'importe qu'elle tire les ficelles, du pantin gardien des garde-fou d'amour, qu'importe qu'elle flagelle ma peau en lambeaux, qu'elle me décarcasse entre chair et peau de ses ongles exacto, bistouri, scalpel, qui me dissèquent les entrailles jusqu'à l'os recto verso jusqu'au moignon des trognons, de la tiraille de l'âme.
Ce ne sont que des bobos, bobos d'amour à mes garde-fou d'amour, cobaye récidiviste. Je mendie et remendie le supplice des vices de sévices..
Souverain Bab
Wislet
14 décembre 2000